La belle façade en verre est trompeuse et cache un hôtel "indus" qui ne mérite pas ses 4 étoiles. La séduction à l'arrivée fait vite place à la déception puis à l'indignation : pas d'ascenseur, un escalier de 23 marches. Une chambre dont la fenêtre donne sur un puits intérieur peuplé de bambous et sur la fenêtre d'une autre chambre à 3 ou 4m . La salle de bains et les toilettes sont disposées de chaque côté du lit (très bien) : les belles portes en bois coulissantes ne ferment pas vraiment et ne vont pas jusqu'au plafond (bonjour les odeurs), la baignoire est à moitié bouchée. Petit déjeuner radin (un dé à coudre de confiture, 1 sucre pour le thé !) . On nous propose une "recouche", traduction : changement des draps, pour deux nuits nous déclinons. Résultat : la chambre n'a pas été faite ! Le comble, c'est l'absence de bagagerie. "Désolé, nous fermons entre midi et 14h." Invraisemblable dans un 4 étoiles. Donc, le TGV partant vers 13h20, impossibilité de profiter de la matinée sans traîner les valises alors que nous avions choisi cet hôtel en raison de sa proximité avec la gare. (Cet hôtel est le fruit d’un aménagement à grands frais d’un bâtiment industriel en 2011. On le doit à l’architecte d’intérieur Carlos Pujol qui l’a revendu en 2015.)
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