布魯塞爾瓦勒迪澤爾埃勒雷飯店

Une très belle découverte. Le LUXE au pied des pistes. La cuisine du Palladio vous apporte le réconfort nécessaire entre deux sessions de ski. Un grand merci à l’équipe des concierges pour leurs précieux conseils et l’organisation impeccable de notre sejour ( Lorraine et Elio, you rock ! )

De retour aux Airelles Val d’Isère, nous avons une fois encore passé un séjour exceptionnel ! Mille mercis à Etienne, Vinciane, Lorraine, François, Adrien…L’hôtel est sublime, la restauration est top, de nombreuses attentions journalières élégantes et personnalisées, des hôteliers passionnés. Un vrai coup de cœur pour nous ! Nous avons trouvé notre Maison d’Hiver 🙏

Je me suis bien fait avoir!! N’en faites pas autant :) Venus pour conclure un séjour très agréable à l’Hôtel Tsanteleina tout proche, nous décidons de déjeuner au restaurant extérieur des Airelles, les Loulous. Après un apéritif sympathique, nous découvrons la carte et optons pour l’épaule de cochon de lait à partager à deux, pour 84€. Le maître d’hôtel arrive et nous informe qu’elle n’est pas disponible ce jour, mais nous informe d’un choix du jour à partager, la côte de bœuf Angus avec frites et salade (et béarnaise maison). Alors à ce stade mon erreur : j’imagine que nous sommes dans les mêmes ordres de prix, et je ne demande pas de précision sur le prix de ce plat. Le serveur insiste dans l’intervalle pour que nous prenions une entrée car l’attente est de 20’ (normal!). Nous acquiesçons et dégustons une entrée agréable et deux verres de Chablis. Je précise qu’ayant l’habitude de dîner ou déjeuner dans des restaurants étoilés, je ne suis en général pas attentif aux prix qui sont toujours relativement normalisés dans ce type d’établissements. La côte arrive, très bonne, et nous terminons le repas par un café. Je demande l’addition et la surprise du chef arrive: la côte de bœuf coûte 280€ … je ne dis rien, je paye, et je précise au serveur qu’il est inélégant de sa part de ne pas avoir évoqué le prix, pourtant matériellement différent du prix de notre premier choix … il s’excuse d’avoir oublié d’en parler en précisant qu’il n’a pas de tabous avec l’argent … moi non plus, mais je ne peux m’empêcher d’avoir un goût de cendre dans la bouche après cette expérience … certainement la braise de cuisson de la côte de bœuf … pour conclure, le serveur avait d’ailleurs oublié de servir la béarnaise et nous avons du la demander … à ce prix, il pourrait faire un effort de mémoire …