波伊斯聖喬治 - 夏姆飯店

Deux nuits dans un hôtel des plus agréables que nous connaissons. Le parc qui l’entoure nous charme à chaque fois, et les petits-déjeuners nous permettent d’être les témoins du bal de la nature: cygnes, canards et canetons, poules d’eau, hérons, lapins, écureuils et autres nous ravissent! A l’accueil, l’équipe est dynamique et attentive à tous nos besoins. Même si dimanche et le lundi le restaurant est fermé, le soir le service est assuré avec des plats préparés à choisir à l’avance. Nous avons eu le plaisir de déguster ainsi une soupe de courgettes en gazpacho dans des bols en bois d’olivier, des lentilles vinaigrette délicieuses, et un dessert exquis. Mais la surprise ce sont toujours les chambres toutes plus originales les unes que les autres: vingt-mille lieues sous les mers, côte de beauté, isbah ou jaipur, nous transportent vers des univers oniriques, et les livres gracieusement laissés à disposition ne manquent pas de capter notre attention eux aussi. Dans ces chambres confortables et climatisées, cet été nous pouvons nous remettre de la chaleur et nous revitaliser. La piscine couverte en plus nous apporte fraîcheur et tonus dans le plus grand raffinement.

Habitué des soirées étape.. Avec un collègue nous avions repéré cet établissement avec une bonne cuisine notée. Un peu chère pour nos budgets mais ok pour en ajouter un peu pour profiter de bons moments pour éventuellement retourner en couple ensuite. Le lundi pas la cuisine habituelle.mais un service rapide. Cela nous l'avons compris. Mais pas compris le supplément pour le dessert.les suppléments pour jambon et/ou fromage au petit déjeuner. Carte des vins ciblée gastro.quasiment rien à moins de 60 € la bouteille. De belles chambres et du personnel sympathique. Mais 160 € la soirée étape avec comme seul écart 1 verre de pineau et 1 mousse au chocolat. Bilan : même avec la cuisine du chef nous n'y reviendrons pas ni en soirée étape ni à titre perso. Il serait logique de ne pas appliquer le tarif pour le lundi l'offre de service n'étant pas sur le standard "supposé" de la semaine

Réponse à la directrice du Bois Saint-Georges qui a réagi à mon avis du 19 janvier, en ces termes : « Madame J. Vous êtes membre d’une association dont la devise est : « culture et amitié ». Vous ne l’avez visiblement pas faite vôtre. Lors de notre dernier dîner vous avez tenu à conserver un siège libre à votre droite pour y déposer votre sac à main. Cette place était destinée à une nouvelle adhérente ! Et si le dîner n’était pas à votre goût, vous auriez pu en faire état au président ou à un membre du bureau présent ce soir-là, au lieu de le publier ainsi. Pouvons-nous espérer qu'au nom de la devise du Club et de votre fidélité à celui-ci, vous nous fassiez, Madame, l'amitié de vous souvenir de soirées agréables ? La Direction » Madame la Directrice, J’attendais vos excuses et l’incident aurait été clos. Je suis très étonnée par votre réponse (quoique ?). Je n’ai pas à me justifier de quoi que ce soit, je veux seulement rétablir la vérité, différente de vos élucubrations. 1) Vous m’appelez « Madame J. » (?), alors que je suis Madame B. 2) Vous écrivez que je suis « membre d’une association », alors que je ne fais pas partie de l’association concernée, même si les thèmes qu’elle choisit sont passionnants. J’aurais dû me contenter de la première partie musicale (riche de sa devise « culture et amitié », que vous-même n’avez pas faite vôtre, pour reprendre vos propos quelque peu pompeux)… et ne surtout pas enchaîner sur les prolongations dînatoires. 3) Vous écrivez également que j’ai « tenu à conserver un siège libre à [ma] droite pour y déposer [mon] sac à main ». En effet, j’avais bien une place libre à ma droite, mais peu m’importait, et un sac y avait bien été déposé, sauf qu’il n’était pas à moi ! J’ai envie d’ajouter : « Non, Madame, ne me grondez pas, ce sac n’est pas à moi ! ». Vraiment risible, votre attitude, si elle n’était grotesque. Les convives à notre table peuvent en témoigner. 4) Vous écrivez ensuite : « cette place était destinée à une nouvelle adhérente ». Invention encore, car l’une de vos collaboratrices est rapidement venue retirer la chaise concernée avec énergie, passablement énervée (contre qui ?). Vos hôtes à cette table ont pu de ce fait mettre un peu plus d’espace entre eux. Là aussi ils pourraient en témoigner. 5) Vous me reprochez enfin de ne pas avoir fait part tout de suite de ma remarque sur le dîner. Madame, d’habitude je dis les choses en face, mais là, vu votre réaction hystérique concernant la chaise occupée par un sac, je ne tenais pas à mettre mes amis mal à l’aise en en rajoutant ! En conclusion, vous espérez que je vous fasse l’amitié de me « souvenir de soirées agréables ». Je préfère oublier celle-là !

Cet endroit est magnifique à tout point de vue. L'élégance et la gourmandise sont les maîtres mots de cette maison. Chambre très confortable, parc superbe. Quant au restaurant, comment vous dire, c'est juste une envolée de saveurs incroyables qui ravit nos palais. Un grand bravo à toute l'équipe de cette maison. Nous y reviendrons, c'est certain.

Nous avons seulement diné dans ce bel endroit. Un personnel très professionnel, agréable et performant. Un menu quelconque. Et surtout une directrice pas à sa place, qui prend les hôtes pour de mauvais élèves!Une personne qui hausse le ton sans raison et apostrophe ses clients hébétés tel un adjudant chef, n'ayant aucun talent d'adaptation pour un convive de plus ou de moins à table par rapport à la réservation. Changez de métier, Madame, ou peut-être aviez-vous seulement besoin de vacances avant le grand stress de Noël... ? Dommage car, je le redis, le personnel a été irréprochable.

Nous avons passé un excellent séjour dans cet hôtel. Très contents de l’avoir découvert, proche de l’autoroute, étape très agréable pour notre trajet. Dîner délicieux et petit déjeuner exquis à tous points de vue. Le décor sur le le lac et le jardin nous a procuré un réveil en douceur.